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Promouvoir l’autoédition autour de soi

Coucou les aventuriers,


en tant qu’auteur, on nous conseille d’avoir un site Internet, une plateforme où échanger, de mettre en place une newsletter, d’être présent sur les réseaux sociaux. Un blog est essentiel pour faire parler de soi et se faire connaitre. Je me suis même inscrite au concours des Plumes Francophones pour espérer gagner en visibilité.

J’ai maintenant mon site (dont je suis très fière), j’ai lutté avec Mailchimp et Wordpress pour comprendre comment fonctionne la newsletter. Plus de secrets pour moi : les flux RSS ! J’ai fait des tests et me suis inscrite à ma newsletter avec trois adresses mail différentes. (Update: je me suis fait hacké mon site Wordpress et ai fait le choix de faire un nouveau site très rapidement avec Wix te j'ai reposté tous mes anciens articles de blog que j'avais sur Word...).

Le monde peut communiquer avec moi. Oui mais voilà. Le monde, faut être réaliste… il préfère aller voir des valeurs sûres, des gens qu’il connait déjà quand il achète un livre. Moi-même, je me jette machinalement sur un Sophie Kinsella ou un Isabel Wolff dès sa sortie (en poche).


Depuis que je suis auteure auto-éditée, indépendante, je vois les choses différemment.



Quelques mois auparavant, j’ai commencé à changer ma façon de consommer et essaye de me fournir que chez des agriculteurs locaux. J’évite d’aller voir les grands supermarchés quand je peux et fais beaucoup plus de choses moi-même (yaourts, glaces, pain...) pour réduire ma consommation de plastique.



Pourquoi je ne changerai pas aussi ma façon de consommer des livres ?

Comme tout le monde j’ai une PAL (pile à lire) volumineuse et j’achète des livres quand je rentre en France à l’aéroport. Tatiana de Rosnay et Guillaume Musso font aussi partie de mes must have et je n’ai d’ailleurs guère le choix dans ces librairies entre deux vols.

Pourquoi ne pas soutenir de nouveaux écrivains ? Un livre d’une auteure de chicklit moins connue peut être tout aussi bien, voire mieux. Une nouvelle auteure peut m’étonner, me surprendre. J’aurai l’impression d’avoir fait une délicieuse découverte.

Pourquoi ne pas lire les livres des gens que je rencontre sur la toile ? J’observe les collègues auteurs, leur manière de faire de la pub, de communiquer sans être lourd, sans faire de tapage. Si moi aussi je ne lis que des auteurs classiques, je ne peux pas encourager qu’on me lise… alors voilà j’ai changé mes habitudes de lecture.


Au salon du livre de 2017, j’ai eu l’occasion de découvrir des auteurs indépendants (Laure Manel, Sonia Dagotor, Gabrielle Desabers, Tamara Balliana) et j’ai depuis lu leur livre et j’en ai même offert (Matthieu Biasotto, William Riverlake). Sur Twitter j’ai découvert d’autres auteurs comme Céline Fuentes, Nina Frey, Blandine P. Martin dont les livres vont bientôt rejoindre ma liseuse. Le risque n’est d’ailleurs pas très élevé non ? vu les prix des ebooks…


J’ai enlevé mes œillères et ai découvert un nouveau monde. Je vous encourage à en faire de même.

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